Historique de la revue
PCM est historiquement le nom de l'Association des ingénieurs des ponts et chaussées et des mines, fondée le 26 mai 1902.
Le premier Bulletin du PCM, ancêtre de l'actuelle revue, paraît dès 1905, l'association se veut ouverte aux activités professionnelles de ses membres et organisée pour en assurer le rayonnement.
En 1931, le Bulletin du PCM se dote d'un contenu technique, avec la première Chronique des travaux, consacrée au port de Saint-Nazaire. A partir des années 1950, le Bulletin du PCM cesse de n'être qu'un organe de liaison pour ouvrir ses colonnes à des études et monographies techniques.
C'est en janvier 1964, sous le titre L'adaptation de la ville à l'automobile, l'autoroute urbaine, que la une de la revue affiche pour la première fois un thème.
En mai 1976, les ingénieurs des mines quittent l'association. On ne verra plus à la une de PCM, comme en mars 1975, Anne Chopinet, première femme à avoir intégré l'X, major de sa promo 1972, entrée trois ans plus tard dans le corps des mines. PCM devient l'organe de l'Association des ingénieurs des ponts et chaussées, édité depuis quelques années « avec la collaboration de l'Association des anciens élèves de l'Ecole des Ponts et Chaussées ». En mars 1987, elle devient l’organe commun des deux associations d’anciens des Ponts: l’AIPC et l’AAENPC, devenue en 2006 Ponts Alliance, association des anciens élèves : ce qu’elle est restée depuis lors.
Il faut attendre le tournant du millénaire pour que PCM prenne enfin des couleurs jusque dans l’illustration de ses articles.
Fidèle à ses intuitions fondatrices, PCM continue à livrer 6 numéros par an à ses abonnés, une revue technique traitant à chaque numéro d’un thème fédérateur.
Pour faire revivre l’histoire de la revue, ont été mis en ligne tous les numéros depuis le premier en 1905 jusqu'à l’année 2005 ; un siècle de numérisation à découvrir !